Succès international de la journée mondiale d’action contre Reebok, parrain de la Fédération israélienne de football qui a des clubs affiliés dans les colonies illégales en Palestine occupée.
De quoi Reebok a-t-il peur ? De nous !
Plus de 20 villes à travers le monde ont participé à la Journée mondiale d’action. De Launceston en Tasmanie à Toronto au Canada, en passant par Vérone, Malaga et Belfast, mais aussi Aix-en-Provence, Grenoble, Lyon, Montargis, Paris, Strasbourg et Toulouse, des militant·es ont dénoncé le soutien de Reebok à l’apartheid et au génocide israéliens, le qualifiant de « pire cadeau jamais offert ». Des tracts au format de semelle sont mystérieusement tombées dans les chaussures exposées dans les magasins.

À la demande des Palestinien·nes.
367 clubs sportifs palestiniens appellent au boycott de Reebok en raison de son parrainage de la Fédération israélienne de football (IFA), qui est directement complice du régime d’apartheid israélien depuis des décennies et, plus récemment, du génocide à Gaza.
L’armée israélienne partie prenante.
L’IFA a récemment créé la « Ligue des réservistes », composée de 32 équipes et de centaines de soldats ayant participé au génocide israélien à Gaza. L’IFA a également dédié des matchs à ces soldats israéliens, et les clubs de l’IFA ont organisé des « colis de soutien » à leur intention.
Nous avons fait céder Puma en 2024, Erreà en 2025 : la campagne contre Reebok continue.
Même si ce n’est pas la marque de chaussure de sport la plus vendue en France, nous ne resterons pas les bras croisés pendant que des entreprises comme Reebok tirent profit du blanchiment par le sport du génocide en cours mené par Israël à Gaza et de son régime d’apartheid qui dure depuis des décennies.
Une dizaine de villes mobilisées en France, des milliers de tracts distribués… Reebok peut s’inquiéter de la coordination mondiale de la campagne.






